Évidemment, vous auriez préférée accoucher dans un autre contexte mais vous ne pouvez pas changer ce qui se passe ou la situation actuelle.
L'acceptation est une des clés qui vous permettra de traverser cette période sereinement.
Faire diminuer votre stress est important, car celui-ci agit sur votre ocytocine (c’est l’hormone qui induit les contractions utérines) et la rend moins efficace.

Une des questions fréquentes de beaucoup de futures mamans est : mon conjoint va t’il pouvoir assister à l’accouchement ?
Globalement les maternités ont interdit la présence du conjoint/conjointe, mais pour en être sûre, contactez votre maternité.
Même si ces mesures sont nécessaires pour votre sécurité et celle de votre bébé, elles n’en restent pas moins très frustrantes et elles s’accompagnent d’un sentiment d’impuissance et de déception. â€¨Et ce sentiment est tout à fait normal.
L’évolution de la situation sur les normes de restrictions est quotidienne.
Vous ne pourrez pas anticiper celle qui sera en vigueur le jour J.
Vivre et être dans l’ici et maintenant est un bon moyen de diminuer vos angoisses.

Vos angoisses et votre stress sont portés par vos doutes, si vous avez des questions sur l’accouchement ou votre séjour à l’hôpital, contactez votre sage-femme, votre doula ou encore la maternité qui seront le plus compétent pour répondre à vos questions d’ordre logistique et/ou médical.

Enfin, réservez-vous des moments de détentes pour profiter des derniers moments de votre grossesse. Soyez dans l’ici et maintenant, connectez-vous avec votre bébé.
Le yoga prénatal peut vous y aider et vous relaxer, des cours gratuits sont disponibles sur internet.

Une certitude, ce qui vous attend ce sont de grands moments d’amour et de joie, vous pouvez faire le choix de penser à tout cela en attendant cette merveilleuse expérience.

Vous souhaitez en parler, un pôle virtuel thérapeutique  a été mise en place. Consultez la page Facebook pour en savoir plus.