La façon dont on porte un regard sur ce qui nous entoure nous permet de les voir différemment.
Vous avez sans doute vu ces sculptures qui d’un côté ne sont qu’un amas de bout de bois ou de fer mais si on change son angle de vue on aperçoit alors une forme différente comme un visage ou un animal.

Non nous ne sommes pas dans un épisode de Man vs Wild avec Beer Grylls aux commandes.
Nous entrons en mode survie généralement quand nous avons subi un stress prolongé ou après une expérience traumatique.

Mais c’est quoi être en mode survie ?

Une phrase que le lapin blanc d’Alice aux pays des merveilles répète beaucoup de fois.
On ne va pas suivre le lapin blanc cette fois mais s’interroger sur le fait qu’on peut se sentir parfois en décalage par rapport à sa propre vie.

Il y a des jours comme ça où on a l’impression que tout va de travers. 
Notre premier réflexe, c’est de s’en prendre... à nous-même.
Breaking news ! Ça ne nous aide pas et ça ne solutionnera pas nos problématiques.
Mais alors, que faire ?

Est-ce que vous avez une routine beauté ? 
J’avoue moi oui. Je ne vais pas vous la détailler ici, promis.
Par contre j’ai d’autres routines pour prendre soin de moi que j’aimerai partager avec vous.

D’abord première question, êtes-vous fier de vous ?
Qu’est ce qui peut vous rendre fier de vous ?
Les actes que l’on accomplit tous les jours peuvent nous rendre fier de nous, mais on n’a pas besoin d’avoir sauvé un petit chaton d’un arbre pour ressentir ce sentiment de fierté.

Non je n’ai pas trouvé un truc et je ne sais pas à qui c’est… pas du tout, du tout.
Je vous parle ici de choses qui nous tiennent à cœur dans nos relations et quel rôle on adopte quand on est avec quelqu’un.

Comme je le répète souvent les mots sont importants, ce que l’on dit aux autres mais aussi ce que l’on se dit à soi.
Faites attention à la façon dont vous vous parlez car vous vous écoutez. 
Et soyons honnête, parfois nous ne sommes pas tendres avec nous-même.

Vraiment, vous êtes sûre ?
Alors si c’est vraiment ce que vous ressentez, c’est la bonne réponse.
Sinon je vous invite à continuer votre lecture.

Prendre rendez-vous chez le docteur.
Ouais d’accord, mais si c’est un sentiment mental et non physique… je fais quoi ?

La paix intérieure est différente pour chacun ce qui va être bon pour moi et me procurer un équilibre n’est pas forcément le même pour vous.
Je partage avec vous ce qui m’a aidé à trouver ma paix intérieure.

Parfois, il y a des vérités qui sont difficiles à entendre mais qui sont nécessaire pour nous faire avancer.

Parfois, il me semble que mon cerveau ressemble à un hamster coincé dans sa roue et qu’il n’a pas la capacité dans descendre.
Et je me dis mais qu’est ce qui ne va pas chez moi, je réfléchis vraiment trop.

Non je ne vous propose pas une partie de Monopoly mais plutôt une réflexion sur les rechutes en commençant par cette phrase : « Faire un pas en arrière ne vous ramène pas forcément là où vous avez commencé. »

« Lorsqu'une porte se ferme, il y en a une qui s'ouvre. Malheureusement, nous perdons tellement de temps à contempler la porte fermée, que nous ne voyons pas celle qui vient de s'ouvrir. » 
Alexander Graham Bell

Anticiper : capacité à prévoir mentalement des événements futurs, des conséquences possibles ou le résultat probable de ses actions.
Anticiper, ça serait donc planifier, prendre des décisions, évaluer les risques et avantages d’une situation, se réguler émotionnellement.

Oui cette fois, on prend les choses à l’envers.
Au lieu de trouver ce qui nous définit, listons les choses qui ne nous définissent pas.

… et manger un Kit-Kat ! Alors oui si vous voulez, chacun fait ce qui lui plait (comme dans la chanson) pendant sa pause.
Redevenons un peu sérieux et parlons de signes qui vous indiquent qu’il est temps de faire une pause.

Et si on arrêtait les « j’aurais dû » et qu’on passait à une nouvelle version.
Explorons cela de plus près.

Au fur et à mesure que nous avançons dans notre vie, nous prenons conscience de beaucoup de choses autour de nous et notre environnement.
Quand on commence à guérir de ses blessures plusieurs prises de conscience s’amorcent.

Le faux-self est un concept développé par le psychanalyste D.W. Winnicot.
Il est à l’opposé du vrai self (logique me direz-vous !).
Voyons plus en détails ces deux notions.

Chacun a vécu des traumatismes différents pendant l’enfance. Pas de concours ici de celui qui a vécu le pire mais plutôt à combien avez-vous été impacté par ce que vous avez vécu.
Les résultantes de ces traumas peuvent se manifester de façon différente. Voyons cela plus en détails.

Ça vous dit quelque chose ? Mouais vaguement...
On peut le définir comme un comportement ou une attitude qui empêche la réalisation des ses objectifs, ses projets même si clairement c'est contre productif.

On se crée beaucoup d’obligations dans notre quotidien. 
Nos phrases débutent souvent par : « Il faut… », « Je dois… », « Je devrais… » .
Et si on essayait une autre méthode !

Ce sont nos choix qui nous mènent là où nous nous trouvons aujourd’hui. Ils peuvent être bons ou mauvais, spontanés ou réfléchis mais nous en sommes responsables.
J’aimerai aujourd’hui vous parler des choix que j’ai fait et qui m’ont aidé à faire un pas de plus vers un mieux-être, une plus grande acceptation de qui je suis.

On regarde souvent notre version passé d’un œil très critique. On déteste ce que l’on a été, comment on a agi. Ces pensées surgissent généralement le soir avant qu’on se couche ou juste avant de s’endormir (oui ces heures du réveil qui défilent alors que nous on veut juste dormir).

Certaines phrases que l’on entend font plus échos à nos besoins que d’autres et certaines nous marquent profondément et nous permettent d’avancer dans notre vie et dans nos choix.
J’ai moi-même prodigué des conseils et j’en ai reçu qui m’ont aidé à cheminer vers mon bien-être mental.

Ça c'est une grande question : "pourquoi j'ai fait ça ?"
Pourquoi je continue à faire ça, pourquoi je réagis comme ça ?
Et si le pourquoi n'était pas si important.

Nous sommes victimes des comportements que nous mettons en place.
Je vous propose quelques conseils pour pouvoir arrêter de briser notre coeur par des comportements qui nous font, au final, plus de mal que de bien (même si oui, je sais, au départ c'était pas le projet).

Est ce que c'est normal de réagir comme ça ?
Alors je ne me lancerai pas dans le débat de ce qui est normal ou pas, on a tous une idée, un point de vue différent sur ce sujet. Par contre, on peut lister certains comportements qui sont une réponse totalement adaptée à ce que nous vivons et dont on a pas à se sentir coupable.

On parle de cicatrisation ou de guérison (choisissez le terme qui vous parle le mieux).
Mais qu'entend-t-on par complètement, totalement cicatrisé ou guéri ?

D’abord, ça veut dire quoi être vrai ?
On pourrait le définir par un autre mot comme authentique.
Vous n'êtes pas plus éclairé, me direz-vous !
Alors explorons comment être authentique.

Quand nous vivons des moments difficiles, tout nous parait insurmontable pourtant quelques signes, parfois subtiles, nous indiquent que nous sommes vers un chemin plus lumineux.

La journée vient de s'écouler et vous sentez monter en vous ce cri qui vous dit : "t'as rien foutu de ta journée !"
Vraiment ?
Oui c'est une vision des choses mais si on essayait de voir les choses de façon différentes.

Et pourtant c'est le quotidien de nombreux d'entre nous !
Ah la culpabilité, cette couverture qui gratte et qui sent le renfermée (oui la même que chez papi et mamie, de couleur orange-marron généralement).
Si on la remisait pour de bon.

On aimerait tous que le processus de guérison que nous entamons à différentes étapes de notre vie soit doux et confortable, un petit cocon douillé...
Mauvaise nouvelle, la plupart du temps cela ne l'est pas.

"Non mais ça va, je gère", "je t'assure tout va bien", "oui oui, t'inquiète ça va"
Est ce que ces 3 phrases vous rappellent quelque chose ?
On peut ne pas porter attention à certains signes qui nous indique que l'on est épuise physiquement ou mentalement car il faut tenir (en mode marche ou crève).
Pourtant certains signes vous montrent qu'il est temps de prendre soin de vous.

Parfois, il est bon de se confronter à certaines vérités pour pouvoir avancer.

Prendre soin de soi ne demande pas de mettre en place des choses révolutionnaire dans sa vie.
Ce sont des choses simples, plus évidente que vous ne le pensez.

Avez-vous déjà entendu cette petite voix intérieure dans votre tête ?
Que vous dit-elle ?

Avez-vous remarqué combien votre vie devient paisible quand vous comprenez que la façon dont les autres se comportent avec vous est un reflet d'eux-même et non de vous-même.

Je vous propose un petit jeu.
Vous trouverez à la suite de cette introduction des phrases que vous allez essayer de transformer pour améliorer votre discours intérieur.

Identifier les déclencheurs de votre anxiété peuvent vous permettre de les dépasser.
Chaque personne étant différente, les déclencheurs seront différents pour chaque individu.

En tant qu'être humain nous avons tendance à prendre les choses personnellement (trop).
Cette tendance s'exacerbe quand dans nos expériences de relation précédentes, nous marchons sur des œufs avec notre partenaire et nous avons dû mal à gérer leur état émotionnel.

Et si je vous disais qu'en réalité, le fait que les autres vous apprécient n'est qu'un bonus dans votre vie. La vraie victoire s'est de s'apprécier soi-même.
Du moment que vous savez qui vous êtes et ce qui vous rend heureux, la façon dont les autres vous perçoivent à peu d'importance.

Existe-t-il une formule magique pour booster la confiance en soi ?
Malheureusement non, ou du moins je ne la connais pas.
Par contre je peux vous communiquer quelques conseils que j'applique et qui peuvent participer à booster votre confiance en vous.

Et si je vous disais que c'est vous-même.
"Hein, quoi, comment... et vous avez des preuves parce que c'est pas moi, j'ai rien fait" me direz-vous.
Justement par quelle action ou non-action, devenons nous notre pire ennemi ?

Comment savoir si la relation que l'on entretient est bonne pour nous ?
Est ce qu'il y aurait des indices ?
Sans se transformer en Sherlock Holmes, il y a quelques pistes qui peuvent nous aiguiller sur cette voie.

Selon les situation que l'on traverse, on peut rapidement paniquer et perdre tous ses moyens.
Alors avant de presser le gros bouton rouge (je visualise toujours les petits personnages de Vice-Versa quand je pense à ça), voici quelques conseils pour retrouver rapidement de la sérénité.

La liste est différente pour chacun de nous.
Qu'est ce qui va faire que l'on va se sentir mieux dans ses baskets (sandales, on est au mois de juin après tout) ?

Nous avons tous besoin d'être encouragé, guidé et nous donnons de l'importance à l'opinion des personnes qui nous aiment et que nous aimons, ce qui est tout à fait normal.
On peut aussi apprendre à faire nos propres choix et se sentir bien avec nos décisions même si il n'y a personne pour les valider.

Si vous portez des lunettes, il est temps de prendre rendez-vous chez l'ophtalmo ou de nettoyer vos verres. C'était le petit conseil du jour !
Même si vos yeux sont très importants, je vais vous parler des différents biais qui nous empêchent de voir clairement une situation.

Un petit message pour vous rappeler qu'il n'est jamais trop tard ou qu'on est jamais trop vieux pour des tas de choses.

Je suis tombée sur une phrase que j’ai eu du mal à comprendre : « La motivation n’est pas ce qui vous fait faire des choses. La motivation c’est ce que vous ressentez après avoir accompli quelque chose ».
Si vous froncez les sourcils (comme moi quand j’ai lu la phrase la première fois), je vous invite à poursuivre votre lecture.

J'en peux plus, je suis crevé, j'ai plus de jus, phrases que l'on peut entendre dire autour de soi ou même répéter soi-même.
On a simplement plus d'énergie... mais où est elle passée cette énergie ?

Parfois on a la fausse impression que la vie ne devrait être remplie que d'amusement, de plaisir, de chose facile.
Une espèce d’idéal inatteignable vendu comme une pub de dentifrice pour des dents plus blanches.

Ça commence par quoi le développement de la confiance en soi ?
Y-a-t-il une ou des méthodes ?
On peut en explorer une ensemble qui commence par prenez soin de votre corps, de votre esprit et de votre âme.

Hummmm... en fait peut-être que si.
Si vous vous jugez constamment, alors oui vous jugez sûrement les autres.

On serait parfois tenter de résumé une situation à ça et de s'enfermer dans un grand manteau de culpabilité.
Combien de fois vous est-il arrivé de vous dire, en fait c'est moi le problème, c'est moi qui complique tout et vous flagellez pour une parole, un geste, une situation.

Vous savez quel est le plus gros problème que l'on rencontre quand on fait passer les besoins des autres avant les siens. On leur apprend, on leur montre que nos besoins sont moins important que les leurs !
Comment peut on changer cette habitude ?

Je parle souvent de l'amour de soi parce que selon moi c'est essentiel et certains d'entre nous en manque cruellement.

Quel est le meilleur conseil que l'on vous ait donnée ?
Alors je ne parle pas de raccordement de plomberie, quoi que c'est toujours utile à savoir, mais plutôt de phrases qui vous ont aidé à avancer, à cheminer et qui vous porte encore dans les moments difficiles.

"Et si je n'y arrivais pas", "Et si ça ne marchait pas", "Et si il/elle n'accepte pas"... je continue la grande valse des "Et si..." ou c'est bon vous saisissez l'idée ?

Je vous remets la définition de bienveillance avant que nous allions plus loin.
Bienveillance : disposition favorable à l'égard de quelqu'un, synonyme : bonté, indulgence.
Et oui truc de dingue, on peut associer le mot bienveillance et le pronom soi-même !

Je dirais, pour être plus clair, les comportements que j'ai stoppé, modifié pour construire une relation plus saine avec moi-même et avec les autres (mais ça faisait encore plus long comme titre d'article !)

C'était un mardi vers 15h49...
Non, je vous fais marcher, je ne me rappelle plus ni la date, ni le jour, ni l'heure mais je me rappelle le sentiment qui a commencé à m'habiter, l'impression que j'ai eu et la bouffée d'air que j'ai prise juste après.

On a tous besoin de repos pour se recharger mais de quel type de repos avez vous besoin ?
Quoi ? Il y a plusieurs types de repos ? Et oui !
Le truc, c'est qu'on applique pas les mêmes choses selon le repos dont on a besoin.

Je vous parle souvent de savoir dire non, mais là on va prendre le problème à l'envers : pourquoi dit on oui ?

Et non, ce n'est pas un article sur le jardinage, les graines à semer en ce moment ou encore un tuto sur comment tailler vos haies.
J'avais envie de vous parler d'une belle métaphore celle du jardin.

J'ai lu une phrase qui posait la question suivante : qu'est ce que vous diriez à une plus jeune version de vous-même ?
Est ce que je lui dirais de faire attention et d'éviter certaines fréquentations, certaines rencontres pour la protéger ?
De ne pas aller à certains endroits, d'éviter de faire certains choix ?

Oui enfin surtout à moi. Je me parle.
Je fais partie de cette catégorie de la population qui a des monologues.
Certains d'entre nous ont des monologues intérieures et d'autres se parlent à voix haute.
Je joue dans les deux équipes.

Ça peut sembler facile de dire non, mais cela se transforme en art quand il s'agit de prendre soin de soi.
La question que l'on peut se poser est : vous sentez vous à l'aise avec le mot "non" ?

Drôle de question ! Je reformule pour vous mettre sur la voie.
Si je vous dis : "qui me définit ?", ça vous éclaire un peu plus.
Allons voir ça ensemble.

Avant de parler de différence, parlons de normalité.
Qu'est ce qui fait qu'une personne est normale ?
Personnellement, je suis incapable de répondre à cette question.
Ce que je peux vous dire c'est qu'est ce que ça signifie de ne pas se sentir normal.

Alors qui suis je ?
Vous avez 4h !
Oui, je sais je vous ai déjà fait le coup du bac de philo.
Allez, plus sérieusement qui y-a-t-il derrière ces mots : tu es ce que tu crois.

Quand nous rencontrons un problème, notre esprit a tendance à se noyer dans d'intenses réflexions mais on perd de vue l'objectif premier : la résolution du problème.
Alors que peut-on mettre en place pour se mettre en action ?

Réfléchir c'est bien, mais vous connaissez l'adage qui dit le mieux est l'ennemi du bien.
Quand on réfléchit trop, on s'embrouille, on construit des scénarios catastrophes, on se laisse envahir par nos peurs, nos anxiétés, ce qui créent en nous de la confusion, l'inaptitude à prendre une décision et la perte du contrôle de nos vies.
Comment alors canaliser nos pensées ?

Pardon : n.m Action de pardonner (à chaque fois, j'ai l'impression que le Larousse ne se foule pas trop !).
Pardonner : verbe transitif  Tenir pour nulle, renoncer à punir, à se venger.
Ok là, c'est plus clair, mais le pardon de soi, c'est quoi ?

"Ce n'est pas ce qui vous arrive, mais ce qui compte, c'est la façon dont vous réagissez."
Puissant, non ?
Cette citation d'Epictète (non, non j'ai pas repris mes cours de philo de terminale) m'a amené aux réflexions suivantes, que je partage avec vous.

Changer notre vision des choses et la vision que nous avons de nous-même peut nous aider à traverser les moments difficiles.

Ce n'est jamais très agréable d'être critiqué sur ses choix, ses décisions, ses actions.
Les critiques sont souvent difficile à entendre et à accepter.
Mais la critique n'est pas forcément négative et peut nous aider à avancer dans nos projets et dans nos vies.

Chacun de nous a ses petits rituels du matin et je souhaiterais vous partager le mien car il m'aide à dynamiser ma journée.

Et si être optimiste était la voie pour illuminer notre cœur et faire briller notre petite étincelle.
Mais qu'est ce que c'est être optimiste ?

Comme une série télévisée rediffusé encore et encore et encore et encore... elle reviennent dans nos conversations, nos échanges, des situations que l'on vit.
Tout d'un coup l'anxiété, la colère, la peur nous submerge comme une sorte de séquestration émotionnelle de notre cerveau.

Vous avez des difficultés à jongler avec tout ce qui vous entoure (famille, travail, relations sociales ou amoureuses) ?
Vous êtes stressé parce que vous avez trop de choses à faire et pas assez de temps ?
On a parfois le sentiment que nos vies sont de plus en plus occupées et qu’elles se remplissent de plus en plus.
Nous sommes obsédés par faire toujours plus, mieux et plus vite. On veut faire encore plus de choses pour encore plus de monde.
J’ai fait le constat suivant, peu importe notre âge, notre culture, nos origines, notre travail, le nombre d’enfants, notre milieu social, c’est la même chose pour tout le monde.

Vous est-il arrivé de ressentir qu'un tas de choses que vous ne souhaitez pas, vous arrive ?
Que les autres prennent avantage de vous ? Que vous subissez leur caprice ou leur humeur ?
Ou encore, vous est-il arrivé de vous retrouver dans des situations, obligations ou interactions qui ne vous correspondent pas, mais alors pas du tout !

Cette question nous nous la posons tous à un moment donné, que ça soit pendant nos études, quand on veut changer de carrière professionnelle, quand on se retrouve à la retraite.
Cette interrogation est légitime et fait partie intégrante de notre parcours de vie.

Certains événements de nos vies nous enseignent de très bonnes leçons qui nous donnent de la force et nous motivent pour aller plus loin.

Cela pourrait être le titre d'un épisode de "La petite maison dans la prairie", mais non ce cercle vertueux existe bel et bien.
On pourrait encore y opposer que ce courant de pensée s'adresse à des gens qui ne sont pas connectés au "vrai réalité" de la vie.

Vivre sa vie en essayant de s'adapter à des règles, des normes, des attentes qui ne nous correspondent pas, nous éloigne de notre bonheur et de notre liberté.
Et même si il est vrai que nous suivons certaines règles éditées par la société dans laquelle nous vivons afin de cohabiter sereinement avec les autres, cela ne signifie pas que nous n'avons pas le pouvoir de décider de notre propre vie et de la façon dont nous voulons la vivre.

Elle est à l'intérieur de nous. Nous sommes tous nés avec.
Elle est puissante, brillante, énergisante, elle nous inspire et fait de nous ce que nous sommes, magnifique et unique.
On la ressent en nous et on peut même voir briller celles des autres dans leur regard.

Ce que l'on tolère devient pour nous normal.
Cette simple phrase m'a invité à réfléchir.
J'ai commencé à penser aux choses que j’aimais ou que je n'aimais pas, ce que je voulais et ce que je ne voulais pas, ce avec quoi j'étais en accord ou pas.
Puis je me suis posée la question suivante : quelle est ma part de responsabilité dans tout ça ?

Que ce soit dans nos relations amoureuses, notre travail, nos relations amicales, il n'est très agréable de se confronter à un refus, à un rejet de la personne en face.
Cela peut signifier la fin d'une relation, un poste que l'on obtiendra pas ou une promotion qui nous passe sous le nez, une amitié qui vacille.
Et si ce refus, voulait nous dire quelque chose ?

Avez vous déjà blessé une personne sans en avoir l'intention ?
Vous ne pensiez pas que vos mots auraient un tel impact et vous ne comprenez peut être pas pourquoi cette personne se sent blessé.
Chaque personne est unique, avec ses propres pensées, sentiments, histoires et dans notre communication et notre relation aux autres, il est parfois difficile de trouver le bon équilibre.
Donc il nous arrive de blesser accidentellement les autres.

Notre zone de confort, nous la connaissons par coeur, chaque recoin, tout y est familier.
C'est pour ça que nous y sommes attachés.
Alors pourquoi sortir de sa zone de confort ?

Dernièrement un ami est venue m'exposer un de ses problèmes.
Il se demandait quoi faire, quelle était la meilleure solution pour lui.
Au plus il se penchait sur son problème, au plus il se sentait perdu, ses idées s'embrouillaient.

Avez vous déjà eu la sensation de ne pas être à votre place ?
Vous vous sentez déconnecté, le mot inadéquation remonte à la surface de vos pensées et vous vous dites, il y a quelque chose qui cloche, vous le ressentez dans votre tête mais aussi dans votre corps.

Le changement, quand il débarque dans nos vies, nous devons nous y adapter, composer avec et plus nous lui résistons, plus il nous emporte, mais généralement pas de la façon la plus plaisante.
On peut prendre l'image du saumon qui remonte la rivière à contre courant.
Je peux vous dire, par expérience, que je n'ai pas la facilité du saumon à nager à contre courant.

Nous souhaitons tous être entendu, soutenu, compris.
Mais est-ce réellement ce dont nous avons besoin ?
Il y a une différence entre l'envie et le besoin, parfois ce que l'on souhaite n'est pas vraiment ce dont nous avons besoin.

Il y a quelques temps de ça, j’ai fait une constatation sur ce que j’enseignais à mes enfants.
Je leur apprends à aimer ce qu’ils sont, qu’ils sont uniques, magnifiques dans leur singularité et que peu importe ce que les autres pensent d’eux, le plus important c’est qu’ils soient bien avec eux-mêmes.
C’est là que je me suis dit qu’en tant qu’adulte, je faisais exactement le contraire. Je focalisais mon attention sur le fait que les autres m’acceptent, bien plus que je ne voulais me l’avouer.
Pourquoi je n’arrivais pas à me détacher de cela, pourquoi ce besoin d’être accepté, validé par l’autre et pas seulement par moi-même ?

Essayez de vous rappeler la dernière fois que vous avez dit “oui” à quelqu’un alors que ce que vous vouliez vraiment répondre c’est “non”.
Dire non peut sembler difficile, dire non pourrait vous amener à perdre un ami, votre boulot, le respect des gens que vous aimez ou admirez.
Il pourrait amener d’autres personnes à penser que vous êtes égoïste.
Mais est-ce réellement ça dire non ?

Combien de fois vous êtes-vous entendu dire “Voilà, je l’ai encore fait !”.
On répète de mauvaises habitudes qui sont devenus tellement familières qu’elles font parties de nous.
On les a intégré dans notre mode de vie et on les reproduit encore et encore et encore... Bref vous voyez le tableau.
Mais alors comment briser ce schéma dans lequel on s’est enfermé ?

Non je n’essaye pas de vous vendre une nouvelle méthode ou même de vous livrer une pizza.
La plupart des choses que j’ai mise en place dans ma vie résulte d’un constat personnel et de mes propres expériences, des discussions avec mon entourage, mes amis.

Souvent je me parle à moi-même, à voie haute ou à voie basse. Mais je dois l’avouer, la plupart du temps, c’est à voie haute.
J’ai constaté une chose, je ne me parlais pas de la façon la plus douce possible, entre les « mais t’es trop conne ma pauvre fille », les « putain, c’est pas possible d’être aussi bête ! » et les « j’y arriverai jamais », on avait un beau cocktail ! 
Autre constat, pourquoi je me parlais de cette façon alors que je ne parlais à personne d’autre comme ça.
C’est là que je me suis dit et si je changeais tout ça, qu’est-ce que ça m’apporterait ?

Pour détourner un certain film : « la vie n’est pas un long fleuve tranquille ».
La vie fait que les choses changent, évoluent, bougent. 
Pourtant parfois on reste coincé dans certaines situations alors que tout nous indique qu’il est temps de prendre un autre chemin. 
On résiste au changement car la situation n’est, certes, pas idéal mais nous la connaissons, ça nous est familier, il n’y a pas de prise de risque alors que ce n’est plus ce qui nous convient, ça ne marche plus et c’est pénible à vivre.
Alors comment savoir quand c’est le moment ?

L’insécurité est en chacun de nous.
Nous avons tous des aspects de notre être que nous pouvons améliorer et nous avons tous des choses qui nous embarrasse, nous font même honte.
Nous avons tous des défauts, mais quand ils se mettent à prendre des proportions énormes dans notre tête, ils dévoilent clairement les symptômes d’un manque de confiance en soi.

Les fêtes de Noël sont un moment de joie, de gratitude et d’amour.
C’est une période où nous prenons le plus soin des autres.
On cuisine, on décore la maison, on achète les cadeaux.
On se met la pression pour que tout soit parfait le jour J mais dans tout ce tumulte, nous oublions quelque chose d’essentiel : nous-même !

Nous faisons tous des erreurs.
Nous ne sommes pas parfaits et nous ne somme pas supposés l’être.
Malgré tout quand on fait des erreurs, la grande fanfare de la culpabilité pointe son nez.
On se sent triste, coupable, bref c’est pas la joie !
Comment faire alors pour aller de l’avant et se libérer de tout cela ?

On souhaite tous avoir la paix, la paix intérieure, des émotions en paix, un corps en paix ou simplement une journée paisible.

Et si on s’offrait plus de paix.

Lors de mes déambulations sur internet, je suis tombée sur cette phrase en anglais “I will not compare myself to strangers on the internet”, ce qui signifie je ne me comparerais pas à des inconnus sur internet.
Et quand on parle d’internet, ici, on vise surtout les réseaux sociaux.
“ Oh Machin est encore en voyage ! ”, “ Ah mais Truc va toujours manger dans des endroits incroyables ”.
Bref vous voyez où je veux en venir.